Ma boîte à déclics

Comment poser un bon diagnostic d’entreprise

Sans y passer des mois

Pourquoi faire un diagnostic… et pourquoi on ne le fait jamais

Faire un diagnostic, c’est comme passer un check-up complet. On sait que ce serait utile, on sent que quelque chose cloche… mais on repousse. Parce que c’est flou, parce que ça paraît trop long, trop compliqué ou trop éloigné du quotidien.

Et pourtant, il y a des signaux qui ne trompent pas. Vous avez l’impression de travailler sans relâche, mais votre rentabilité stagne. Vos équipes tournent en rond. Les tâches s’empilent. Le chiffre d’affaires bouge, mais vous n’arrivez pas à savoir si c’est bon signe ou pas. Les clients sont là, mais la charge mentale augmente, tout comme les doutes.

Dans ces moments-là, on se dit qu’il faudrait « faire le point ». Prendre du recul, comprendre ce qui freine l’entreprise, ce qui coûte, ce qui rapporte, ce qui fait perdre du temps ou de l’énergie.

Mais comment faire ? Et surtout, sans se noyer dans des tableaux ou des audits à rallonge ?

Un diagnostic d’entreprise ne devrait pas être une usine à gaz. Il ne s’agit pas de passer trois mois à collecter des données. Il s’agit avant tout de mieux comprendre ce que vous vivez aujourd’hui, et de poser les bases pour aller plus loin.

Le bon diagnostic, c’est celui qui :

  • prend peu de temps à réaliser,
  • est basé sur vos priorités réelles,
  • vous donne des pistes concrètes d’amélioration,
  • ne nécessite aucun jargon ni logiciel compliqué.

En bref, c’est un outil pour reprendre la main, et pas une charge de plus à gérer.

Ce qu’il faut vraiment observer (et comment aller à l’essentiel)

Le cœur d’un bon diagnostic, ce n’est pas la quantité d’indicateurs. Ce n’est pas non plus une vision théorique déconnectée de la réalité du terrain. C’est votre quotidien, votre fonctionnement, vos forces, vos blocages… mis en lumière de façon simple et structurée.

La bonne méthode consiste à poser les bonnes questions, dans les bons domaines. Ni trop, ni pas assez. Il s’agit de prendre une photo claire de votre activité, sans chercher à tout modéliser.

Voici ce qu’on peut analyser rapidement et efficacement :

  • Votre organisation : comment circulent les informations, qui fait quoi, quelles sont les urgences qui reviennent tout le temps.
  • Vos ressources humaines : est-ce que les bonnes personnes sont au bon endroit ? Est-ce que vous déléguez ce que vous pourriez ?
  • Votre activité économique : ce que vous vendez, à qui, comment, et surtout à quelles conditions de rentabilité.
  • Votre charge de travail : ce qui vous occupe vraiment (par rapport à ce qui devrait vous faire avancer).
  • Vos objectifs réels : ce que vous voulez obtenir à court et moyen terme (pas ce que vous pensez « devoir » faire).

L’idée n’est pas de tout remettre à plat, mais de détecter les décalages entre ce que vous voulez faire, ce que vous croyez faire… et ce que vous faites vraiment. C’est là que se trouvent souvent les meilleurs leviers d’action.

Ce diagnostic, on peut le faire en quelques heures. Avec de bons outils visuels (tableaux simples, schémas, curseurs), vous avez rapidement une vision synthétique de votre activité. Et vous pouvez déjà prendre de meilleures décisions, plus éclairées, sans attendre une fin d’année ou un bilan comptable.

Ce qu’il faut vraiment observer (et comment aller à l’essentiel)

Le cœur d’un bon diagnostic, ce n’est pas la quantité d’indicateurs. Ce n’est pas non plus une vision théorique déconnectée de la réalité du terrain. C’est votre quotidien, votre fonctionnement, vos forces, vos blocages… mis en lumière de façon simple et structurée.

La bonne méthode consiste à poser les bonnes questions, dans les bons domaines. Ni trop, ni pas assez. Il s’agit de prendre une photo claire de votre activité, sans chercher à tout modéliser.

Voici ce qu’on peut analyser rapidement et efficacement :

  • Votre organisation : comment circulent les informations, qui fait quoi, quelles sont les urgences qui reviennent tout le temps.
  • Vos ressources humaines : est-ce que les bonnes personnes sont au bon endroit ? Est-ce que vous déléguez ce que vous pourriez ?
  • Votre activité économique : ce que vous vendez, à qui, comment, et surtout à quelles conditions de rentabilité.
  • Votre charge de travail : ce qui vous occupe vraiment (par rapport à ce qui devrait vous faire avancer).
  • Vos objectifs réels : ce que vous voulez obtenir à court et moyen terme (pas ce que vous pensez « devoir » faire).

L’idée n’est pas de tout remettre à plat, mais de détecter les décalages entre ce que vous voulez faire, ce que vous croyez faire… et ce que vous faites vraiment. C’est là que se trouvent souvent les meilleurs leviers d’action.

Ce diagnostic, on peut le faire en quelques heures. Avec de bons outils visuels (tableaux simples, schémas, curseurs), vous avez rapidement une vision synthétique de votre activité. Et vous pouvez déjà prendre de meilleures décisions, plus éclairées, sans attendre une fin d’année ou un bilan comptable.

Comment passer à l’action (sans tout chambouler)

Ce que vous cherchez, ce n’est pas un rapport de 50 pages. Ce que vous voulez, c’est une vision claire et des priorités concrètes. Un bon diagnostic n’est utile que s’il débouche sur des décisions pratiques, faciles à mettre en œuvre.

Après l’analyse, vient le tri : qu’est-ce qu’on garde, qu’est-ce qu’on doit ajuster, qu’est-ce qu’on doit carrément arrêter ? Et surtout : qu’est-ce qui peut changer dès maintenant, sans attendre trois mois ou un gros budget ?

L’étape suivante est souvent celle de la clarification des rôles, des horaires, des marges ou des outils utilisés. Il ne s’agit pas de tout réinventer, mais d’optimiser ce qui existe déjà. Parfois, une demi-journée suffit à débloquer des situations qui freinaient l’équipe depuis des mois.

Le but est de vous permettre de :

  • reprendre le pilotage de votre activité,
  • anticiper plutôt que réagir,
  • faire de la place à la stratégie, sans abandonner l’opérationnel.

Et ce n’est pas réservé aux grosses structures. Bien au contraire. Les TPE, artisans, indépendants et prestataires ont encore plus besoin de clarté, car ils ont souvent moins de marge d’erreur et moins de relais internes.

Un bon diagnostic, ce n’est pas une théorie descendante. C’est un outil de travail, un miroir constructif, un point de départ pour avancer. Et ce travail ne doit pas durer des mois. Il doit s’inscrire dans votre rythme, avec des solutions concrètes, accessibles, et pensées pour vous.

Mon approche

Quand je vous accompagne dans un diagnostic, je ne cherche pas à tout mesurer, ni à imposer des outils standards. Je prends le temps de vous écouter, de comprendre ce que vous vivez, et de poser un regard neutre, bienveillant et structuré sur votre activité.

Je travaille avec vous, pas à votre place. Ensemble, on clarifie ce qui fonctionne, ce qui coince, et surtout ce qu’on peut améliorer sans tout chambouler. J’utilise des outils simples, des schémas, des mots concrets. Et chaque proposition est adaptée à votre quotidien, pas à une théorie de consultant.

L’objectif, c’est que vous repartiez avec une vision claire, des décisions faciles à prendre, et une vraie sérénité dans votre gestion.

Le diagnostic peut être un point d’entrée vers un accompagnement plus large, ou simplement un coup de projecteur ponctuel. Vous choisissez le format, la durée, le niveau d’intervention. Mon rôle, c’est de vous aider à reprendre la main, et à avancer plus sereinement.

Si vous sentez que c’est le bon moment pour faire un point, je vous invite à me contacter en remplissant le formulaire ci-dessous ou directement par téléphone. Ce sera l’occasion de voir comment je peux vous aider concrètement, simplement, humainement.

Mon approche

Quand je vous accompagne dans un diagnostic, je ne cherche pas à tout mesurer, ni à imposer des outils standards. Je prends le temps de vous écouter, de comprendre ce que vous vivez, et de poser un regard neutre, bienveillant et structuré sur votre activité.

Je travaille avec vous, pas à votre place. Ensemble, on clarifie ce qui fonctionne, ce qui coince, et surtout ce qu’on peut améliorer sans tout chambouler. J’utilise des outils simples, des schémas, des mots concrets. Et chaque proposition est adaptée à votre quotidien, pas à une théorie de consultant.

L’objectif, c’est que vous repartiez avec une vision claire, des décisions faciles à prendre, et une vraie sérénité dans votre gestion.

Le diagnostic peut être un point d’entrée vers un accompagnement plus large, ou simplement un coup de projecteur ponctuel. Vous choisissez le format, la durée, le niveau d’intervention. Mon rôle, c’est de vous aider à reprendre la main, et à avancer plus sereinement.

Si vous sentez que c’est le bon moment pour faire un point, je vous invite à me contacter en remplissant le formulaire ci-dessous ou directement par téléphone. Ce sera l’occasion de voir comment je peux vous aider concrètement, simplement, humainement.

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